Divagation x Fortune Collective
16.06.2023 - 19:30
Rue de la Petite-Ile 1A | Klein-Eilandstraat 1A, 1070 Anderlecht
Tickets at the door!
19:30 - Doors
20:00 - Jazz Lambaux
21:00 - Bilou
22:00 - Sticky World
Jazz Lambaux
Précédemment connu sous le nom de Jazzboy, Jazz Lambaux est une évolution de ce premier pseudonyme, une excroissance musicale qui prend une place grandissante et s’affirme progressivement. Vivant entre Paris et New-York, l’univers de Jazz est incomparable et inclassable : oscillant entre musique contemporaine et composition pop, il expérimente des instruments peu familiers comme la cornemuse dans son dernier EP.
Il s’agit de développer et construire un art qui se veut total et pluridisciplinaire : en plus des compositions sonores et des clips, les lives se transforment en comédie musicale donnant corps aux morceaux et ajoutant une forte dimension plastique. Réalisateur, Jazz écrit, tourne et monte les clips qui accompagnent ses morceaux. Il s’est produit en France, en Espagne, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, partageant l’affiche avec Eartheater, Babii, Agar Agar, Sloppy Jane ou encore Tredici Bacci.
Sticky World
Sticky World est un duo pop autodidacte aux influences multiples allant de l'électronique (drum & bass, acid, 2step) au rock indie en passant par la culture musicale internet et l'héritage des formations "boysband". Les chansons du groupe oscillent constamment entre la recherche de sonorités expérimentales et la simplicité des pop songs anglophones. Les rencontres virtuelles, l'alchimie inter-espèce et les vertiges de l'amour, font partie des thèmes de prédilection de Sticky World. Leur première sortie (double single) va paraître en été sur le nouveau label d'Armand Bultheel.
Bilou
Bilou joue entre les pratiques, à l’intersection des médiums de la musique et de l’image.Ça parle du regard à l’intérieur de sa musique et ça parle de la voix qui s'élève au sein de ses images fabriquées ou glanées dans son cercle proche. Des textes et des images intimes chantées en français inclusif. Une musique électronique déstructurée et non binaire, une émotion pop retenue par les karchers des harmonizers. En koala sur son micro, ses notes à fleur de peau s’écorchent en pointant du doigt les déguisements du patriarcat qui lui ont rendu la voix grave. Ça s’irrite jusqu’au retour à l’enfance, dans l’aigu radical d’un‧e enfant bélier qui imiterait un bébé loup pour alléger la gravité. Des couleurs pitchées qui nagent parmi des chœurs qui espèrent encore.